Management et stress : quelles solutions ? Le stress au travail est plus ou moins courant chez les employés. Il est cependant indispensable de comprendre la différence entre le « bon stress » ou d’autre manière un stress utile à la productivité, et un « mauvais stress » par ailleurs cause d’épuisement au travail (ou burn-out en anglais).
Encore, management et stress sont étroitement liés. Un bon manager doit comprendre comment en prendre conscience pour intervenir de façon plus efficace.
Quels sont les facteurs de “mauvais stress” ? Quels sont les symptômes de stress et notamment le stress chronique ? Comment le traiter ? Pourquoi est-il intéressant de contrôler l’état de stress chez ses collaborateurs ?
I. Les multiples origines du stress
Les causes du stress sont nombreuses :
Les conditions de travail
Open space, environnement avec beaucoup de bruit, mauvaise organisation de fauteuils, sollicitations infinies; le stress au travail peut être le résultat de certaines conditions dans lesquelles les collaborateurs sont appelés à travailler.
En fonction des différentes personnalités, certains facteurs inhérents aux conditions de travail peuvent générer parfois du stress.
La surcharge de travail
Manque de personnel, inexistance de bonne gestion, absence de management… autant de paramètres qui peuvent amener les collaborateurs à être submergés de travail et donc menacés par un stress intense. Vigilance donc à la surcharge au boulot.
Un manque d’organisation
Une entreprise qui n’est pas bien organisée, qui partage les échéances de dernière minute, met en œuvre plusieurs « réunions de crise » et où les processus ne sont pas idéals peut intensifier l’anxiété de ses collaborateurs.
Cela est d’autant plus correct pour ceux qui ont besoin d’un cadre déterminé pour travailler dans des conditions optimales.
À noter que le défaut d’organisation peut aussi être fait par le collaborateur.
Les antécédents psychologiques du collaborateur
Les collaborateurs ne sont pas égaux face au sentiment d’anxiété lorsqu’ils doivent réaliser des missions et contribuer à des projets plus ou moins intéressants.
C’est d’ailleurs pour cela de nombreuses offres d’emploi indiquent la mention ”bonne gestion du stress” lorsqu’il s’agit des qualités interpersonnelles recherchées. Gérer son stress au travail est relativement difficile.
Certains collaborateurs auront à cœur de plaire, d’autres n’auront aucune difficulté à composer avec le stress en raison d’une nonchalance naturelle, et enfin certains employés succomberont facilement à cause d’un manque de confiance en soi (ou peut être d’estime de soi).
Le management joue donc le rôle d’adaptation en fonction des profils et – toutes proportions gardées – d’adopter un management différencié.
Management et stress
Pa mal de fois, les sources de stress sont les managers de l’entreprise qui, pour atteindre les objectifs et car ils sont sujets au stress aussi, sont à l’issue de l’élévation du niveau de stress des employés au travail.
Poussée à l’extrême, cette stratégie de management (créer du stress chez les autres) peut être considérée comme harcèlement.
Rappelons à cet effet l’article L1152-1 du Code du travail : «Aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel».
En France, le harcèlement moral est délictuel et peut être sujet de punition de deux ans de prison et d’une amende de 30.000 euros environ.
II. Les symptômes du stress
Les effets du stress sont multiples. Ils impactent d’abord la santé mentale avant d’induire des problèmes au niveau de la santé physique.
1. Les risques psychosociaux du stress
Les salariés stressés trop longtemps peuvent succomber au mal-être à cause d’une surcharge mentale et émotionnelle. Le stress chronique peut provoquer la dépression et ainsi le burn-out.
Cela est spécialement vrai pour les personnes qui subissent du harcèlement et/ou incapables d’accomplir leur mission à cause d’une charge de travail élevée.
Ainsi, l’impuissance à séparer sa vie professionnelle de sa vie personnelle (notamment sa vie familiale) à cause des conditions de travail difficiles peut amener à des risques psychosociaux non seulement dangereuses pour le salarié, mais préjudiciables pour l’entreprise toute entière.
2. Les conséquences physiques du stress chez les collaborateurs
Troubles du sommeil, pression artérielle et rythme cardiaque élevés, maux de tête, douleurs musculaires, vertiges, grande fatigue ou manque d’alimentation…les résultats au niveau physique du stress sont multiples et dommageables à moyen et à long terme.
Néanmoins, on peut prévenir certains risques, et de faire réduire le stress dans les lieux de travail.
On peut définir grâce à tels symptômes qui sont les personnes sujets au stress, mais aussi de prendre des mesures préventives.
3. Diminuer le stress en entreprise et gérer votre stress au travail : comment lutter contre le stress ?
Lutter contre le stress ou calmer l’état d’anxiété de certains employés est facilement envisageable et vous pouvez vous baser sur quelques conseils, que vous soyez un manager ou un employé anxieux.
Management et stress : les objectifs réalistes
Il faut fixer des objectifs réalistes pour ne pas surcharger vos collaborateurs et d’être capables à les féliciter et de les valoriser quand ils atteignent leurs objectifs.
Des objectifs trop augmentés peuvent amener à décourager ainsi qu’à un degré de stress élevé, ce qui serait contreproductif pour l’employé et pour l’entreprise.
Management et stress : la gestion du temps (et de la vie personnelle)
En France, il y a tendance à valoriser les salariés qui s’attardent au travail.
Cependant, la culture d’entreprise permet de lutter contre ces situations et encourager les travailleurs à partir tôt, afin qu’ils soient contraints d’être productifs pendant un horaire bien étudié, et puissent se consacrer totalement à leur vie privée en dehors de travail.
Management et stress : les intervenants extérieurs
Lutter contre le stress est simple grâce à des programmes ou des formations en gestion du stress.
Certains experts peuvent agir au sein des entreprises pour diffuser des conseils utiles à vos différents employés (sujets au stress). Cela peut les pousser à mettre en place les recommandations d’un coach et donc de combattre comme il faut contre l’anxiété.
Management et stress : les techniques de relaxation et les exercices de respiration
Le stress en entreprise est observable, et cela est tout à fait normal. Il s’agit de fixer des objectifs financiers et l’ensemble de collaborateurs doit travailler dans ce sens, pour pérenniser l’entreprise.
Cependant, on peut diminuer l’anxiété par des techniques de relaxation spécifiques comme la méditation ou le yoga qui agissent sur la respiration.
Vous pouvez donc encourager vos salariés à pratiquer cela à l’intérieur de l’entreprise, réserver une salle privée et inviter un spécialiste pour animer les séances concernées.
Management et stress : les aménagements
Certaines entreprises proposent des locaux dédiés dans lesquels on peut se reposer (faire la sieste par exemple), de boire un café ou même de pratiquer du sport.
Il s’agit ainsi d’améliorer les conditions de travail et de mettre en place un environnement motivant.
Cependant, toutes les structures ne possèdent pas obligatoirement de la place (ni parfois de budget) pour faire certains aménagements.
Management et stress : encourager la pratique des activités physiques
Sans beaucoup entrer dans la vie privée de vos employés, vous pouvez mettre en place des « associations sportives » en interne qui assurent la pratique des activités physiques (et par conséquent diminuer le stress), et aussi l’esprit d’équipe.
La bonne ambiance dans l’entreprise est importante. La culture prise en charge par votre structure doit être celle de la bienveillance, de la solidarité et donc du management agile.
Rien de tel pour faire diminuer le niveau de stress des salariés, contribuer à leur bien-être et augmenter leur productivité.
III. Quel est l’intérêt de lutter contre le stress ?
Diminution du taux d’absentéisme, amélioration de la santé physique et mentale, amélioration de la productivité… le stress est un fléau contre lequel il est indispensable de se battre quotidiennement.
1. La rétention des salariés
Sans négliger le taux d’adrénaline important pour les commerciaux, les managers doivent veiller à maintenir leur taux de cortisol, et ce, pour les convaincre de rester travailler dans l’entreprise.
Le turn-over n’a jamais eu d’intérêt pour les entreprises, car ça coûte : procédure de recrutement, temps de formation ou encore suspicion des salariés ou des clients.
Alors, la gestion du stress permet de maintenir ses employés dans leurs postes de travail et favoriser leur rétention. Ces derniers gagnent en compétences, deviennent plus efficaces, productifs et améliorent la situation financière de l’entreprise.
2. Le bien-être des collaborateurs
Normalement, la diminution du stress permet aux employés de se sentir mieux, et donc d’améliorer leur performance, qu’il s’agisse de la quantité de ventes ou de la qualité du service de la relation clients.
Dès lors que la nervosité s’affaiblit, chaque salarié peut se relaxer et réagir contre le stress et donc contre les enjeux intéressants auxquels ils sont exposés, avec « zénitude ».
3. L’augmentation de la productivité
Alors, des collaborateurs qui sont moins exposés au stress sont moins absents, souhaitent rester travailler dans l’entreprise et sont alors plus rentables.
4. En conclusion
Évacuer le stress présente donc beaucoup d’avantages pour le travailleur et pour l’entreprise. En outre, les affaires deviennent susceptibles de bien se dérouler lorsque le personnel est heureux.
Par ailleurs, il faut se méfier de ne pas favoriser le “laisser-aller” et à garder un léger stress propice à l’action, la productivité, l’innovation et la créativité.
IV. Surcharge de travail : mieux comprendre et agir en 4 étapes
La santé des employés, le bien-être au travail, l’équilibre de la charge psychosociale sont des facteurs essentiels pour le salarié ainsi que pour son employeur. Ainsi, la surcharge de travail est un enjeu important pour l’employé et l’employeur.
La surcharge de travail peut engendrer des risques psychosociaux graves. Cela est d’autant plus vrai qu’elle s’associe généralement avec le harcèlement moral.
Surmenage, charge mentale intense et santé au travail dégradée sont généralement les conséquences des semaines de 70 heures qui ne se terminent pas.
Si vous souffrez du stress à cause de votre surcharge de travail, vous pouvez remettre en question soit le management de votre entreprise, soit votre méthode de gestion.
Le surmenage au travail, résultat grave de la surcharge de travail, n’est pas à négliger.
Bien qu’elle ne soit pas définie par le Code du travail, la charge de travail doit satisfaire quelques conditions qui doivent être prises en charge par l’entreprise.
1. À partir de quel moment peut-on parler de « surcharge de travail » ?
Les juristes peuvent finalement se baser sur certains indices permettant de définir le périmètre de la charge de travail qui se transforme en une surcharge de travail. Cette surcharge aura obligatoirement des conséquences redoutables qu’il faut anticiper.
a. Les indicateurs de la surcharge de travail
Le temps de travail, la quantité de fonctions ou aussi les objectifs qui se voient irréalistes ainsi que le manque de formation sont à priori de aspects qui permettent de définir s’il y a concrêtement une «surcharge de travail» ou pas.
Le temps de travail
Élément basique de la définition de la surcharge de travail, la durée de travail doit être «raisonnable».
Le respect du nombre de jours par semaine ou du nombre d’heures de travail est intéressant. Il est aussi important de vérifier que les jours de repos soient bien respectés.
Les responsabilités et les objectifs
La charge de travail est corrélée aux fonctions véritablement exécutées par l’entreprise. Ainsi, les prud’hommes prennent en compte l’acumulation des fonctions, et le respect de la fiche de poste.
Ainsi, le fait de déterminer exactement les fonctions permet profondément d’appréhender une telle surcharge de travail.
La plupart de temps, et cela est d’autant plus vérifié lors du recrutement de commerciaux, les contrats de travail contiennent un certain nombre d’objectifs : ces derniers doivent être réalistes.
L’objectif est le cœur de la charge de travail dans la condition où l’entreprise pourrait mettre les bouchées doubles pour s’éloigner d’être sur la sellette.
En effet, de telles clauses anticipent l’éviction des collaborateurs dans la situation où les objectifs ne sont pas atteints.
Ne pas atteindre les objectifs est considérée comme une faute grave qui ne peut pas être excusée auprès de l’employeur.
L’absence de formation
Les employeurs doivent vérifier que leurs employés sont formés pour le poste de travail qui leur est affecté.
b. Les conséquences de la surcharge de travail
Les critères précédents peuvent être plus ou moins respectés, mais la surcharge de travail reste un concept subjectif propre à chacun. Dès lors que la surcharge de travail provoque l’épuisement au travail, alors il est important de déclencher la sonnerie d’alarme.
Aggravation de la santé de l’employé, arrêt maladie et accident du travail sont autant de risques encourus pour tous (employé et employeur).
Les risques pour le salarié
La surcharge de travail est contreproductive
Le travail acharné envisage véritablement des risques sanitaires physiques et mentales. La surcharge de travail est donc à proscrire à cause des symptômes (par exemple l’anxiété, les troubles du sommeil, tension nerveuse…).
Surcharge de travail et burn-out
L’épuisement au travail conduit au burn-out qui se voit par un désintérêt pour les détails de travail ou un épuisement extrême.
Risques d’influence négative sur la vie personnelle
La surcharge de travail peut impacter l’équilibre de la vie privée et avoir indirectement des conséquences sur la vie de l’entourage du salarié qui en devient «victime».
Les risques encourus par l’entreprise
Le fait d’avoir des employés stressés influence négativement leur productivité, augmente la fréquence des arrêts maladie et favorise le turnover.
Exceptionnellement, ce dernier élément n’a été jamais un bon signe pour l’entreprise dans la condition où ça mène vers la formation de nouveau des collaborateurs et ainsi engendrer une perte d’argent.
Cela peut visiblement impacter l’image de l’entreprise et sa marque.
c. Les mesures correctives de la surcharge de travail
Qu’il s’agisse ou non de recours légaux, on peut prendre des mesures précises pour réduire la dose de travail.
d. Les recours légaux aux surdoses de travail
Le concept de surcharge de travail n’est pas déterminé par le Code du travail. En droit du travail, le concept de charge de travail est limité au temps de travail et au nombre d’heures supplémentaires seulement, pour identifier l’existence d’une surcharge de travail.
Ce concept se présente au niveau juridique, lorsque les employés clament la surcharge de travail à cause des heures supplémentaires impayées.
Le Code du travail prévoit dans son article L. 3121-60 (forfaits en jours) que « l’employeur s’assure régulièrement que la charge de travail du salarié est raisonnable et permet une bonne répartition dans le temps de son travail »
Cependant, les contours du concept de charge de travail ne sont pas délimités…
e. L’employeur est tenu par une obligation de sécurité
Selon l’article L. 4121-1 du Code du travail, « l’employeur est tenu à l’égard de ses salariés d’une obligation de sécurité ».
Il est donc possible de se reposer sur cette notion pour définir si la surcharge de travail est avérée ou pas.
Malheureusement, ce sont les conséquences personnelles de la surcharge de travail qui indiquent le manque de sécurité qui entraîne l’anxiété et/ou le burn-out.
La notion de charge de travail est ainsi comme d’habitude en droit, subjective et propre à chaque litige.
Finalement, le code de la sécurité sociale envisage les risques psychologiques corrélés à une faute qui ne peut pas être excusée auprès de l’entreprise en cas d’accident ou de maladie de travail.
Dans une situation de stress issu d’une surcharge de travail, l’entreprise prend le risque d’être accusée par le non-respect des règles de sécurité.
Le problème de ce genre de mesure est de falloir attendre que la surcharge de travail provoque des dégâts pour pouvoir faire la réparation et qu’il ne s’agit pas de prendre des mesures préventives pour arrêter la surcharge.
De même, la charge de la preuve incombe à l’employé qui doit montrer par exemple son état d’anxiété. Les critères psychiques ne sont pas faciles à déterminer par des faits. La surcharge de travail générant par nature des dégâts invisibles et insidieux.
Aussi, le CSE est important pour ce qui est lié aux conditions de travail et également la surcharge de travail.
2. Comment affronter une période « normale » de surcharge ?
Protéger la santé mentale est bien sûr très important. Ainsi, comment se protéger des surcharges de travail ? Y a-t-il des solutions pragmatiques ? Comme d’habitude, il n’existe pas de solution magique, mais des outils performants dont vous pouvez utiliser.
Étape 1 – Prise de conscience
Pour commencer, il faut savoir qu’on est dans une période de surcharge de travail. Vous pouvez anticiper un eventuel “burn-out” en soyant conscient de la surcharge qui vous incombe.
Vous n’êtes pas un géant et avez le droit d’arrêter de «tout prendre sur vous» et de penser que vous pouvez faire tout.
Étape 2 – Priorisation
Ensuite, déterminez les tâches principales et privilégiez-les. Utilisez pour cela la matrice d’Eisenhower pour vous aider. En effet, le jour ne fait que 24 heures.
Il est donc important de s’assurer de la réalisation de ce qui est intéressant en premier ordre. Ainsi, nous aurons un impact réel sur la vie professionnelle ainsi que personnelle.
Étape 3 – Repos et prise de recul
De plus, vous devez faire des pauses, et cela est d’autant plus important que vous souhaitez gagner en productivité. Faites des pauses régulières, et ce pendant toute la journée. Vous allez gagner aussi en prise de recul.
Cela va vous permettre de vous garantir que vous êtes bien en cours de travailler sur vos priorités.
Étape 4 – Gestion des imprévus et refus
Continuez votre travail en réservant le plus souvent des créneaux vides dans vos agendas pour pouvoir y placer vos imprévus. En effet, la gestion des imprévus est indispensable pour réduire le stress et limiter les surcharges.
Comment faire face à un imprévu si votre planning est complet ? Tentez de dire “NON” si vous n’avez pas le temps ou si les tâches envisagées n’apparaissent pas prioritaires.
3. En conclusion sur la surcharge de travail
La souffrance au travail n’est pas une fin en soi. Vous pouvez montrer du mal-être, détenir un degré de stress qui dépasse les limites, approuver une charge de travail croissante et pour autant avoir un taux d’absenteisme faible !
Cependant, il faut savoir que la qualité de vie au travail doit être assurée par l’employeur, et on peut bien envisager un arrêt de travail si on n’est pas en mesure d’exécuter les tâches concernés.
L’épuisement au travail ne fait pas partie de la mode. Le chef d’entreprise est responsable du “burn-out” et il doit assumer ses responsabilités.
N’oubliez pas les maladies professionnelles et suicides chez France Télécom auparavant. C’est un burn-out collectif, et les salariés n’ont pas fabulé.
Ainsi, il faut bien prendre les mesures nécessaires pour réduire la pression de travail, le risque psychosocial et le syndrome d’épuisement au travail.
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