Qu’est-ce que la Supply Chain en Management : définition et enjeux. La supply chain, désignée aussi chaîne logistique, est associée à un certain nombre d’étapes liées elles aussi à la chaîne d’approvisionnement, de l’achat des matières premières à la livraison du produit final (ou service) au client. Elle fait intervenir tous les acteurs qui veillent à assurer la production et l’optimiser.
Définition de la Supply Chain : Vue d’ensemble
D’où vient le terme supply chain ?
La supply chain est un nouveau concept apparu en 1958. En effet, Jay Wright Forrester avait mis les premières briques de cette discipline sans l’avoir nommer de façon explicite.
La nommée supply chain n’existe pas dans ses ouvrages ! Il n’en reste pas moins un expert incontournable à propos de cette théorie. Il a plutôt définit la supply chain de manière juste et moderne.
Traduite en Français, la supply chain veut dire à nos jours la chaîne d’approvisionnement ou le cycle de la chaîne d’approvisionnements.
Au fond, la supply chain désigne les différentes étapes d’approvisionnement, du processus de production et de livraison des produits.
Elle est composée de plusieurs flux. Ce sont les flux physiques, flux d’informations, puis les flux financiers et administratifs. L’enjeu fondamental est ainsi la gestion des flux.
Quelle est la différence entre supply chain et logistique ?
On doit se méfier de la confusion avec la chaîne logistique qui veut dire la gestion de l’entrepôt, des flux de transport internes et externes, des approvisionnements ainsi que la livraison des produits finaux. Nous allons l’aborder un peu plus prochainement.
L’objectif principal étant d’acheminer les bons produits, au bon emplacement, au bon moment, en bon état, avec les quantités prédéfinies et au coût le plus bas possible.
élément intégrant de la supply chain, il n’est associée donc qu’à un volet de la supply chain. Les deux termes se complètent et chaque processus n’existe qu’en présence de l’autre. Mais ils ne sont pas synonymes. En utilisant ces deux termes, il faut faire attention à leur utilisation et éviter de faire d’amalgame.
Toutefois, au-delà d’être un terme qui désigne l’enchaînement d’étapes que suit le produit dès sa création jusqu’à sa livraison. C’est un concept moderne et innovant qui aide les entreprises à être plus compétitives dans leur marché.
La supply chain, un chaîne complète
La supply chain peut se définir comme une chaîne reliant le fournisseur du fournisseur au client du client. De façon plus concrête, c’est une chaîne qui fait regrouper des professionnels afin de les faire travailler ensemble de façon optimale.
On peut citer donc quelques acteurs principaux au niveau de la supply chain : les producteurs, les fournisseurs, les distributeurs, les clients…
Exemple
La supply chain c’est quoi exactement ? Comme nous l’avons vu, la supply chain, fait le regroupement de toutes les étapes du produit. Dès sa création jusqu’à sa livraison. Autrement dit, si on suit le processus complet de la production d’une boîte de sauce tomate par exemple :
–Un agriculteur cultive les tomates chez lui. Il les vend par la suite à un grossiste. La marchandise sera transportée jusque chez ce fournisseur.
–Ce grossiste prend les tomates qu’il vendra à une entreprise qui produit la sauce tomate.
–Les tomates sont acheminées du grossiste vers l’entrepôt de stockage où il y a la préproduction de l’usine de production, elles seront transformées. Elles deviennent ainsi une sauce tomate.
–Une fois les boîtes de sauce tomate disponibles, elles quittent l’usine. Elles passent pour l’empaquetage dans l’entrepôt et seront placées sur des palettes pour l’expédition vers le client. Au cours de cette étape, la marchandise est distribuée aux différents clients chacun avec la quantité qu’il a commandé.
–La marchandise quitte dans une dernière étape l’entrepôt vers les distributeurs pour la vente en grandes surfaces là où il arrive le consommateur final.
Des outils précieux
C’est un processus qui dure et compliqué à cause de la longueur de la chaîne. Il est ainsi intéressant de bien gérer, de bien contrôler et de bien réguler les flux provoqués. L’entreprise peut reposer sur des outils de gestion divers :
ERP, CRM, SRM, PLM, GPAO, WMS, TMS..etc. Des abréviations de la plupart des logiciels essentiels pour mener à bien les activités de l’entreprise.
Ils lui permettent d’améliorer sa productivité, son efficacité et sa rentabilité, tout en garantissant la satisfaction clients et réalisant la veille concurrentielle.
Si un client X passe une commande chez une entreprise, un processus se déclenche pour créer le produit et puis le livrer.
Ainsi la supply chain désigne les fonctions internes et externes de l’entreprise. Celles-ci sont des actrices dans ce processus (cette chaîne).
On a déjà vu les flux qui constituent la supply chain. La combinaison de ces flux (physique, d’information et financier), s’ils sont bien gérés, aboutit à la réussite du Supply Chain Management. Ainsi, voilà pour mieux comprendre, une explication plus approfondie de chaque flux :
Quels sont les flux gérés par la supply chain ?
Flux physique
Qu’est-ce qu’un flux physique ?
On désigne par flux physique, le transport et le stockage des produits. Cela quitte le site de production vers un ou plusieurs entrepôts, pour arriver par la suite à un magasin ou à un client final selon le type de distribution (par internet, distribution classique…).
On relie, souvent, ce terme à la logistique mais je ne veux pas trop m’étaler sur cette thématique, ça sera peut être le sujet d’un autre article.
Ces flux font le regroupement des fonctions d’approvisionnement, de maintenance, de pilotage des flux de produit, de transport…
Ils sont sous le contrôle de la prévision des ventes la plus précise pour limiter les phénomènes de surstock ou les risques de rupture de stock.
Au cœur du processus logistique
Les flux physiques sont associés aux mouvements de marchandise dans les locaux de l’entreprise.
L’approvisionnement de la marchandise est effectué par les fournisseurs jusqu’à l’entrepôt. On fait sa réception, son contrôle, son stockage et son approvisionnement en se basant sur le WMS (Warehouse Management System) pour assurer l’optimisation et la gestion de stocks dans l’entrepôt.
Optimisation de la production mais pas que
Pour assurer l’optimisation de production dans l’entreprise, l’ordonnanceur et le chef d’atelier (ou le responsable de l’usine) peuvent utiliser un logiciel de GPAO (gestion de la production assistée par ordinateur) permettant de créer et gérer le planning de fabrication, les achats, les commandes de produits… qui sont nécessaires pour la production.
Quel que soit le mode de production, les enjeux sont cruciales : production efficace, maintien des délais fixés par les clients, respect des règles et normes de qualité.
Supply chain et digital
En fin de compte, pour assurer le transport et l’acheminement de marchandises jusque chez le client final, le cadre qui s’occupe de l’expédition et le transport peut compter sur un logiciel appelé TMS (Transport Management System) qui gère et rationalise le processus de transport, en donnant une plus grande optimisation de flux, de coûts et de temps qu’il faudra réserver pour le transport.
Pour améliorer la relation avec ses clients, pouvoir prévoir ses besoins, le service supply chain peut utiliser le logiciel CRM (Customer Relationship Management). C’est la base de données au sein de laquelle sont stockées les données des clients.
Il y a par exemple l’historique des commandes, les éléments associés aux processus de collaboration, les attentes des clients..etc. Néanmoins, on parle également, de plus en plus de “reverse logistics”qui a une véritable influence sur la chaîne d’approvisionnements dans sa globalité.
Flux d’informations
Accumulation de données
Similaire à une grande bibliothèque, l’entreprise peut créer une grande base de données dans ses serveurs. Cette base de données représente un ensemble de données stockées. On y retrouve la marchandise proposée, les différents intervenants du process, les moyens mis à disposition..etc.
Apparentés au moteur qui va assurer le fonctionnement des flux physiques, les flux d’informations permettent ainsi d’influencer la stratégie, en terme de supply chain, mise en œuvre dans l’entreprise. Ces informations assurent l’analyse de la chaîne de valeur.
L’ensemble des données
On peut citer également les catalogues produits qui comprennent les différentes caractéristiques produits, les informations concernant les fournisseurs et les prestataires (en logistique, en transport, en négociateurs douaniers…).
On retrouve aussi la stratégie d’approvisionnement, les moyens de transport choisis et leur performance. Les informations y sont citées : Les prix/frais (de la marchandise, des prestations, du transport…), le bilan de ventes, les indicateurs de performance et les données concernant les clients.
L’objectif primordial est de savoir les manipuler à bon escient, prévoir ce qui peut se dérouler dans l’avenir.
Les flux d’informations permettent également de savoir le nombre de commandes de chaque client, pour savoir la quantité à commander auprès des fournisseurs, la quantité à stocker, la quantité à produire et à livrer.
Optimisation des ressources
Si on a plusieurs commandes en une seule fois, on aura besoin d’optimiser les opérations. Le but est de réduire les ressources de production et ainsi satisfaire les besoins du client pour réduire les coûts et résister contre la concurrence du marché.
Cette optimisation (concernant la chaîne d’approvisionnement) permet d’avoir un produit à un coût compétitif qui lui permet d’être capable de répondre aux attentes des clients en termes de rapport qualité/prix.
Analyser les ventes qui précèdent pour pouvoir réaliser les prévisions nécessaires et ainsi anticiper la demande pour avoir la capacité de livrer le client plus rapidement car la marchandise est déjà disponible tout en réduisant les effets de surstock ou de rupture de stock.
Cela entraîne l’exploitation parfaite de la zone de stockage évitant, en même temps, la sur ou la sous-utilisation d’une zone de stockage à allouer chez un prestataire logistique.
Calculer le coût, pour savoir le prix de vente qui permet de couvrir les frais et notamment laisser une marge pour investir dans des outils permettant d’améliorer les infrastructures et les ressources mises en place dans le but de réduire les coûts et augmenter les bénéfices.
La fiabilité des données
Les flux d’informations sont ainsi indispensables pour l’entreprise dans sa communication interne et externe (avec ses prestataires) mais également pour pouvoir mesurer l’impact des stratégies adoptées et d’y remédier le cas échéant.
Pour gérer ces flux de manière optimale, l’approvisionneur peut se baser sur les SI (systèmes d’information). Le premier étant l’ERP (Enterprise Resource Planning), nommé aussi PGI (Progiciel de Gestion Intégré). C’est l’outil de base pour l’entreprise.
C’est un SI permettant de gérer et de surveiller régulièrement les flux d’informations et les services opérationnels.
Flux administratif et financier
Stratégie indépendante, les flux financiers et administratifs représentent l’ensemble des documents et des transactions acheminés entre les différents intervenants de la supply chain (partenaires, fournisseurs, sous-traitants…).
On fait classer dans ces flux le traitement des commandes et le contrôle (de livraison, des commandes, des paiements…).
Pilotés par le service commercial, d’administration des ventes et finance, les flux administratifs et financiers jouent un rôle principal dans la supply chain, car un retard dans le traitement administratif des commandes par exemple peut provoquer de mauvais impacts sur la planification de l’approvisionnement et ainsi la gestion des stocks.
L’enjeu majeur est de prévoir la date de notre paiement et de celle de nos fournisseurs. Elle assure un bon management de trésorerie.
Un bon contrôle des flux physiques et des flux d’informations permet au DAF (directeur administratif et financier) d’optimiser les finances de l’entreprise.
Cela va permettre d’en assurer la pérennité ce qui n’est pas toujours évident quand le client ne respecte pas le cadre légal et dépasse les 30 jours imposés pour payer.
Quels défis pour la supply chain de demain ?
On peut résumer enfin les défis du supply chain management dans l’entreprise comme suit : rendre ses produits toujours disponibles dans le temps, et à un prix compétitif.
Tout cela doit être au bon moment, en fixant des deadlines, en anticipant la commande, en effectuant des prévisions pour rendre la marchandise demandée disponible pour la production et arriver à livrer le client au bon moment.
Au bon endroit, veut dire bien gérer les commandes pour livrer la marchandise au client concerné avec la quantité demandée.
Efficacité maximale
Au meilleur prix, veut dire réduire au maximum le prix d’achat, normalement. Mais surtout avoir une supply chain performante en disposition qui permet de payer les prestataires externes avec les moindres coûts possibles. Optimiser l’ensemble des opérations pour réduire les frais de transport, de stockage et de production.
Calculer la main-d’œuvre, le nombre de machines, les moyens de transport les plus efficaces et les plus rentables, prévoir la capacité de stockage nécessaire et faire l’optimisation des stocks pour éviter les surplus et de devoir liquider ou rejeter la marchandise mais aussi éviter les ruptures ce qui risque de ralentir le rythme de production…
Dans un environnement économique très concurrentiel, les entreprises se trouvent obligées de se réinventer, d’une façon ou une autre. En termes de marketing, de communication, de relation clients ou de logistique et de gestion de l’organisation pour être plus compétitives.
Développement constant
A propos de la supply chain, les entreprises recherchent sans cesse de nouvelles méthodes de production, d’acheminement et de transport de marchandises et de satisfaction clients. Cette recherche est facilitée par la collecte et l’analyse des données.
En effet, les entreprises se focalisent depuis longtemps sur l’optimisation de production. Elles abondonnent tout ce qui se passe avant et après la production. Cette dernière est déjà réalisée efficacement.
Il est recommandé de trouver d’autres ressources d’amélioration. La maîtrise des flux amont et aval leur assure le maintien de leur avantage concurrentiel clairement visible.
Le défi des entreprises à nos jours se situe ainsi au niveau du stockage et de la collecte de données. Ces dernières, après d’être analysées permettent de trouver de nouveaux leviers stratégiques d’amélioration.
Ces données sont indispensables pour optimiser et développer la qualité des prévisions et les apports de la supply chain.
Le secret de réussite est ainsi dans le passage d’une gestion traditionnelle à une autre plus intelligente de la supply chain avec les données déjà collectées.
Quels enjeux pour la supply chain ?
Une balance équitable
Une définition de la supply chain ne peut être parfaite qu’avec une bonne vision envers les différents enjeux de l’avenir.
L’enjeu dont chaque entreprise doit s’en occuper pour créer l’équilibre entre la satisfaction client et la rentabilité.
On ne peut pas mettre en place un stock infini de marchandises juste pour satisfaire nos clients. Il faut avoir la précision la plus possible, et une qualité de prévision idéale, pour réussir à optimiser les stocks.
Il n’est plus possible de livrer tous les clients en moins d’une demi-journée. Ça n’est plus rentable. Il faut ainsi trouver un équilibre entre ce que demandent les clients et les capacités de l’entreprise en termes de livraison.
Une supply chain verte
écologiquement parlant, on a ce qu’on appelle la rentabilité écologique. Il faut donc créer l’équilibre entre les différents clients qui demandent les produits de façon rapide et l’impact de la supply chain sur l’environnement. Particulièrement au niveau du transport. On ne va pas transporter toutes les marchandises par voie aerienne. C’est un moyen de transport sûrement rapide et performant, mais qui coûte cher et polluant.
Supply chain et blockchain
La blockchain va occuper une place plus importante dans l’avenir. En effet, le besoin de rendre les données plus fiables et de créer une traçabilité est un enjeu puissant pour la supply chain.
Toute la chaîne de valeur va se mettre en ordre de marche afin que chaque flux soit pris en considération dans la blockchain. Cette migration vers la blockchain va aider à mutualiser et sécuriser les données.
Il reste beaucoup de temps pour arriver mais les secteurs sensibles et les secteurs à grande valeur ajoutée doivent être influencés tout d’abord. On parle notamment de l’industrie pharmaceutique et l’aéronautique.
Quels sont les métiers de la supply chain ?
Voici un petit aperçu sur les métiers de la supply chain :
-Directeur supply chain : il met en place la stratégie et la bonne application du plan de la supply chain au sein de l’entreprise. Il est en interaction étroite avec plusieurs collaborateurs.
-Demand planner ou prévisionniste de ventes : poste inconnu par la plupart mais exceptionnellement stratégique, il se charge de prévoir la demande (les prochaines ventes). Cette prévision de la demande est capitale pour que les unités de production réalisent leur travail efficacement. Très orienté mathématique, ce profil est atteint par une orientation choisie par les ingénieurs qui veulent s’éloigner un peu de l’industrie.
-Approvisionneur : poste recherché par les entreprises de façon particulière, il se charge de contrôler ce que les unités de production aient au bon moment les matières premières nécessaires pour produire. Dans certaines entreprises (grande distribution par exemple), certains approvisionneurs peuvent se charger de réaliser l’approvisionnement des clients. On parle alors d’approvisionnement aval piloté par des “approvisionneurs client”.
-Supply chain manager : le supply chain manager se charge de gérer en périmètre supply chain comme le directeur supply chain mais plutôt dans une optique opérationnelle et moins stratégique. C’est, le plus souvent, l’antichambre du poste de directeur.
-Chef de projet supply chain : il se charge de mettre en œuvre des projets permettant d’appliquer le plan stratégique du directeur supply chain. Il peut également mettre en œuvre certains outils nécessaires comme les ERP, EDI..etc.
-Ordonnanceur de production : rattaché en général à la supply chain, bien qu’orienté vers la production, il est en général dans l’unité de production pour surveiller la production.
-Planificateur de production : qui est en général en amont de l’ordonnanceur (parfois c’est la même personne qui se charge des deux fonctions) pour anticiper les futures productions en mettant en place un planning de production. Cela permet d’anticiper plusieurs besoins (ressources humaines, matières premières, machines disponibles…) pour vérifier que tout est prêt pour le moment convenable.
-Gestion ADV et gestionnaire litiges : deux fonctions peu mises en avant mais ayant un impact parfois colossal pour l’entreprise. Les postes en ADV sont remarquablement recherchés et requièrent des compétences et des savoirs-faire bien déterminés.
Conclusion
L’avenir de la supply chain, comme vous pouvez le constater se situe ainsi au niveau de l’analyse et la fiabilisation des données.
Elle aide, cependant, à la prise de décision grâce aux systèmes d’information. L’analyse des données permet de comprendre le fonctionnement des mécanismes aujourd’hui, y compris leur efficacité et leur inefficacité.
Elle aide aussi bien les entreprises à optimiser leurs stratégies. Que ce soit en matière, d’exploiter certaines méthodes, des infrastructures et des concepts plus efficaces.
Le tout lui permettant d’améliorer la productivité, plus vite et à coût réduit. Ainsi, d’honorer sa promesse aux clients : livrer rapidement, livrer bien, dans les délais, au bon endroit et au meilleur prix. Voilà le résumé pour définir la supply chain synthétique.
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